Hong Kong SAR, Chine :
- L'Alliance Démocratique pour l'Amélioration et le Progrès de Hong Kong (DAB) : centre / centre-droit, conservateur, pro-gouvernement
- Alliance Professionnelle et des Affaires pour Hong Kong (BPA) : conservateur, libéral
- Le Parti Démocrate : centre-gauche, prodémocratie
- Le Parti Libéral (LP) : centre-droit, pro-business
- La Confédération des Syndicats de Hong Kong (HKCTU) : libéral, pro-gouvernement
- Parti Civique (CP) : social-libéral , constitutionaliste
- Parti du Nouveau Peuple (NPP) : conservateur
- Patrimoine Professionnel (PC) : libéral
- Parti travailliste : écologiste, social-démocratie
- New Territories Association of Societies (NTAS) : nationaliste chinois, conservateur
Le gouvernement n'est responsable que devant le Chef de l'exécutif et se compose de 12 ministres (« Secretaries »). Ils sont assistés de 17 hauts fonctionnaires qui portent le titre de « Permanent Secretaries ». Dans l'ordre hiérarchique, les trois principaux postes du gouvernement sont le Chief Secretary (Secrétaire général), numéro 2 du gouvernement, le Financial Secretary (Ministre des finances), et le Secretary for Justice (Ministre de la justice). Si le Chef de l'exécutif se trouve dans l'impossibilité temporaire d'exercer ses fonctions, elles sont remplies dans cet ordre de préséance par les titulaires des postes principaux.
Le Chef de l'exécutif est par ailleurs assisté d'un Conseil (Executive Council ou « Exco ») comprenant les ministres du gouvernement et 15 membres non officiels, qui sont des parlementaires nommés par le Chef de l'exécutif et des personnalités issues du monde des affaires ou de la société civile. L'Exco fait office de conseil des ministres ; c'est au sein de cette instance qu'est élaborée la politique du gouvernement. Ce Conseil est consulté pour toutes les décisions politiques importantes. Il se réunit une fois par semaine, sous la présidence du Chef de l'exécutif qui doit spécialement motiver ses décisions en cas de désaccord avec la majorité des membres du Conseil.
Le classement mondial, publié chaque année, permet de mesurer les violations de la liberté de la presse dans le monde. Il reflète le degré de liberté dont bénéficient les journalistes, les médias et les net-citoyens de chaque pays et les moyens mis en œuvre par les Etats pour respecter et faire respecter cette liberté. Au final, une note et une position sont attribuées à chaque pays. Afin d’établir ce classement, Reporters Sans Frontières a réalisé un questionnaire adressé aux organisations partenaires, aux 150 correspondant de RSF, à des journalistes, des chercheurs, des juristes ou des militants des droits de l’homme, reprenant les principaux critères – 44 au total – permettant d’évaluer la situation de la liberté de la presse dans un pays donné. Ce questionnaire recense l’ensemble des atteintes directes contre des journalistes ou des net-citoyens (assassinats, emprisonnements, agressions, menaces, etc.) ou contre les médias (censures, saisies, perquisitions, pressions, etc.).
Source : Classement mondial de la liberté de la presse, Reporters Sans Frontières
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Dernières mises à jour en Juin 2022