Le développement humain
- IDH* :
- 0.548/1
- IDH (rang mondial) :
- 145/188
Note : (*) L'IDH, Indicateur de Développement Humain, est un indicateur qui synthétise diverses données telles que l'espérance de vie, le niveau d'éducation, les carrières professionnelles, l'accès à la culture, etc.
- Le salaire moyen
- 5.032 USD par an dans le secteur formel.
- L'indépendance de la justice
- Les décisions du gouvernement sont souvent étroitement liées aux motivations personnelles des juges et des fonctionnaires. Malgré cela, les courts de justice kényanes disposent généralement de magistrats compétents. En outre, le Kenya dispose depuis la promulguation de la Constitution de 2010 d'une justice indépendante, avec notamment une Cour suprême. Enfin, chaque année le Juge en chef du Kenya doit présenter un rapport sur l'état du système judiciaire du Kenya.
- Les sources de la loi et les similarités légales
- Le système juridique kényan est fondée sur le droit britannique.
La pression fiscale
La nature de la taxe |
Le taux standard |
Impôt sur le revenu des personnes physiques |
Taux progressifs de 10% à 30% |
Sur les premiers 288 000 KES |
10% |
Sur les 100 000 KES suivants |
25% |
Sur les revenus dépassant 388 000 |
30% |
Impôt sur le revenu locatif résidentiel |
10% du produit brut en cas de revenus locatifs entre 144 000 et 15 millions KES par an
Les contribuables dont les revenus locatifs résidentiels dépassent 15 millions de KES par an sont imposés sur la base du revenu net |
- Les déductions et les crédits d'impôt
-
Les frais d'intérêts hypothécaires (jusqu'à 300 000 KES par an ou 25 000 KES par mois) sont déductibles. Les cotisations à un fonds de pension ou de prévoyance enregistré au Kenya sont déductibles jusqu'à 240 000 KES par an (plafonné à 30 % du revenu de l'employé). Une indemnité journalière de subsistance jusqu'à 2 000 KES payée en dehors du lieu de travail normal n'est pas imposable, de même que pour toute dépense engagée entièrement et exclusivement dans la production d'un revenu d'emploi.
Les primes, indemnités d'heures supplémentaires et prestations de retraite versées aux salariés gagnant moins de 147 580 KES par an sont exonérées d'impôt.
Un crédit d'impôt équivalant à 28 800 KES par an s'applique à tous les particuliers (2 400 KES par mois).